


Les Flying Gaonas Clown d'Or à Monte-Carlo en 1978.

Les Flying Gaonas avec le Dr Alain Frère en 1978.


Les Flying Gaonas

Tito Gaona

Pelé et Tito Gaona.

Les Codonas


Les Flying Farfans


Les Flying Michaels



Les Flying Cavarettas



Les Marilee Flyers

Les Flying Caballeros

Les Flying Caceres

Les Flying Alizes


Les Flying Ramos






Enzo Cardona et sa Troupe.

Les Flying Leotaris





Les Flying Palacios


Les Flying Steeles

Les Flying Wilastons

Les Flying Souzas

Les Flying Vasquez

Les Flying Alexanders

Le trapèze volant est une discipline de voltige aérienne au cirque. Il est pratiqué seul ou à plusieurs avec au moins deux trapèzes. Les acrobates se lancent d’une plate-forme accrochés à la barre d’un trapèze puis se propulsent vers un autre trapèze en réalisant des figures de voltige au-dessus d’un filet.
C’est le trapèze volant bâton-bâton inventé par Léotard et qui se pratique encore aujourd’hui. Il a été créé plus tard le trapèze volant bâton-porteur où le voltigeur après avoir quitté son trapèze est rattrapé par une autre personne, le porteur (catcher) (le trapèze volant ayant été créé en France, utilisons les mots d’origine qui sont utilisés par tous les professionnels en France et dans les pays francophones), également en vol. Le porteur est habituellement accroché par les genoux sur un deuxième trapèze, ou encore sur une « chaise », structure métallique balançante. Idéalement, à la suite de quelques figures acrobatiques, le voltigeur revient sur la plate-forme de départ. Un filet de sécurité au-dessus du sol protège les acrobates en cas de chute, et le filet peut en lui-même être utilisé comme structure artistique. Le trapèze bâton-bâton est une structure horizontale où, respectivement, les deux trapèzes et les deux plates-formes ont la même hauteur. Il permet de faire des figures croisées diverses et variées ainsi que des enchaînements, jusqu'à dix figures de suite, par contre il ne permet pas de faire de très grosses figures : seule une dizaine de voltigeurs a réalisé régulièrement le double saut périlleux en rattrapant le trapèze. Le trapèze bâton-porteur possède une structure en pente le voltigeur part d’une hauteur au-dessus de la plate-forme et le trapèze supportant le porteur est situé en contrebas du trapèze voltigeur (jusqu’à un mètre voir plus chez certaines troupes, Les Kraines notamment) ceci permet de faire de plus grosses figures jusqu’au quadruple saut périlleux (le voltigeur a plus de hauteur et n’a rien besoin de voir car c’est le porteur qui l’attrape), par contre les passages croisés sont limités et les retours plus difficiles donc peu variés.
